JOURNÉE DE LA FRANCOPHONIE 2014

 

Le 2 avril 2014 a eu lieu la journée de la Francophonie dans la Faculté de Philosophie et Lettres de l’Université d’Estrémadure à Cáceres. Il s’agissait d’une réunion à laquelle étaient invités 300 élèves et enseignants de français de la région d´Extremadure. Nous étions tous unis pour les mêmes raisons : l´amour du français et la célébration de l’usage de cette belle langue. C’était aussi une célébration de tout ce que cette langue a permis dans le monde. Par exemple, le français est à la racine de bon nombre de valeurs multiculturelles, telles que la liberté, l´égalité et la fraternité. De plus, cette langue a créé au cours de l’histoire des liens qui unissent la France à d´autres pays européens, mais aussi d’Outre-mer : en Afrique, en Amérique, en Asie et en Océanie.

 

Lors de cette journée, les élèves de français de la région de Cáceres ont pu faire partie d’un échange culturel avec des enseignants et avec d’autres élèves comme eux. Le doyen de la faculté, Luis Bernal, les a accueillis les bras ouverts, et ensuite les professeurs leur ont montré les nombreuses possibilités liées à l’étude du français. Puis, la projection du film « Les émotifs anonymes » de Jean-Pierre Améris a fait de cette journée un moment très amusant, parce que c’est une comédie qui traite de l’amour de deux personnes qui ont des problèmes.

 

La pause a permis aux étudiants de découvrir la pâtisserie française, grâce aux pains au chocolat et aux fameuses gaufres. Après, les élèves ont visionné une représentation des grands exploits de la culture française, par exemple, la gastronomie, les paysages, les monuments, etc.

Puis, c´était le moment tant attendu de la remise des prix du concours de la francophonie. Les élèves avaient été invités à créer une œuvre sur le thème "Dis-moi dix mots… à la folie", en s´appuyant sur les mots suivants : « ambiancer, à tire-larigot, enlivrer (s’), charivari, faribole, hurluberlu, ouf, timbré, tohu-bohu, zigzag ». Les catégories de création étaient : une bande dessinée de 3 planches maximum ; un conte d´environ 2000 mots,  un court-métrage, d’une durée de 2 à 4 minutes ; et une chanson. Le concours a été un succès et les élèves ont ainsi vu les excellents résultats de leurs travaux et de ceux d´autres lycées.

 

Pour conclure, cette journée a été une bonne expérience tant pour les élèves que pour les enseignants, une manière différente en somme de profiter de la langue française et d´entrevoir différentes manières de l’apprendre, de s’amuser, et d’amplifier nos connaissances.

 

Pablo Melchor Sanchez